L’expertise et les controverses

Cette série de publications est relativement peu intéressante et est à considérer comme un droit de réponse à un « expert » qu’il est inutile de nommer, et qui publie des informations fausses et à la limite de la diffamation, sans aucune retenue. Le propre de l’expertise c’est justement la discussion...

George Morren. Portrait d’une dame, 1922

Quand à l’incompétence notoire s’ajoute la négligence, l’expertise tourne au grotesque. Que dire d’autre en effet quand on retrouve ce tableau authentique de George Morren (authentifié comme tel par Tony Calabrese l’excellent expert de l’artiste) dans une publication auto proclamée « Catalogue raisonné de Théo Van Rysselberghe » sous...

Jamais authentifié ni vu

Cette oeuvre n’a jamais été vue et certainement pas authentifiée par Olivier Bertrand Ce dessin très quelconque est selon notre opinion aussi faux que le monogramme qu’il porte. Les faux Van Rysselberghe sont très nombreux et de sujets variés même si les paysages et les personnes sont privilégiés par...

Jamais vus

Jamais vue par Belart contrairement à ce qui est affirmé par un « expert » Ce paysage que certains ont pensé avoir été dessiné par Théo Van Rysselberghe est au mieux une œuvre d’un autre artiste, au pire un faux créé de toutes pièces pour tenter de le faire passer pour...

Ego à nouveau

L’Expertise se fait sur de très nombreux critères, comme l’expérience, les recoupements, l’analyse, la science….Et c’est le propre de l’expert de remettre en question ou de faire des erreurs. En aucun cas le résultat d’une expertise ne doit être le résultat d’un coup de sang ou d’une déformation de...

Ego à nouveau

Ce très beau pastel est toujours resté dans la même famille d’origine luxembourgeoise, les Mayrisch. Aline et Émile Mayrisch sont de proches amis du couple Van Rysselberghe. Ils possèdent de nombreuses et très belles œuvres de l’artiste et en feront acheter par toutes les branches familiales et alliées. Ce...

Tout le monde peut se tromper …

Présent dans un « catalogue raisonné » et exposé à la National Gallery, il s’est avéré rapidement lors d’une exposition à Bruxelles que ce n’était pas un Van Rysselberghe. Et cela a été mentionné lors de l’exposition (cela reste une belle œuvre) . Le mérite, c’est de reconnaître ses erreurs.